1. |
soliloque
01:23
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le sein cyclope
le sang si propre
le son cyclique
si frotte
si pique
arabesque
si salsifis
se suffit à lui-même
c’en est ainsi
pas de souci
trop de souris
sans têtes aussi
le sang cystite
si frotte
si pique
est-ce que ça suffit
si salsifis
sans souci
se sacrifie
plus de légumes moins de finances
moins d’écumes plus de vagues
moins de bitume plus de riz
des acrostiches dans le sable
des affamés à table
des conspirations de fables
des affalements d’érables
des avalanches de câbles
des terres arables
des terres arabes
des terres en rab
des terreurs tristes
des terres à risques
des terres à pic
les thérapies
les terres à plis
derrière la pluie
derrière la pluie
déterre la pluie
les terres à pluie
les terres à vie
les terres à bille
les terres à vie
les terres habillent
des terres à pluie
des terres à pluie
déterre à
les terres à
terre à pluie
les terres à
des terres à pluie
des terres à
terres à pic
des terres à
déterre
déterre la
des
déterre la pluie
déterre la
déterre
déterre la pluie
des
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2. |
avaler tous les déserts
05:33
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la gorge sèche
avaler tous les déserts
l’existence en bandoulière
soi-même mémoires d’hier
avec un cheveu comme passerelle
suspendue aux fragments
ébauches des bouches bées
silences paroles creuses
une herbe folle sur les falaises
en guise de souvenir
la gorge sèche
d’être un désert
traverser le large
épaves célestes
tombées après le jour
avec un ventre à perte de vue
dessus dessous
les autres crêtes
à l’ombre des galets
syllabes subtiles
et soubresauts
caresses du vent
sur les cimes
vent triangle
ventriloque
tourné vers le soleil
perdu le fil de ma pensée
avaler tous les déserts
la gorge sèche
il est des terres
impalpables qu’on n’oublie jamais
paysages arides de métal
métal brûlant
sur le contour des sens
métal brûlant des sens
il est des terres
d’éclipses où tout s’arrête
énigmes pendules et pyramides
dans les déluges larmes triangles
larmes triangles mémoires d’hier
demain une autre soif
le long des gorges sèches
terres serpents où tout est flou
autour des yeux
solstice cyclope
il est des terres
difformes autour des ombres
au fond de soi-même
la soif de naître
ou de ne pas être
les cils dans le ciel
avec un pinceau étanche
pour joindre les cols
ici là-bas
combien il fait chaud
sans dire un mot
avaler tous les déserts
la gorge sèche
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3. |
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tirer des conclusions
à ne plus savoir pourquoi
les causes ne correspondent plus
aux conséquences
contre distance
borderline sur le fil des existences
en funambule
des partis pris
départ gris
vannes fermées sur le choix
de ne plus avoir de choix
impasse sombre
juste une voix qui péniblement s’affirme
infime clause
infime pause
infâme chose d’être ici
soi-disant libre
soit crisant verre
choisissant lettres
choix niant ce qu’ils affirment
soi-disant possibilité d’être
le clou s’enfonce
l’écrou se serre
prise de distance
nous sommes le produit
de vos divisions de classes
de vos soustractions d’estime
nous sommes la somme
de toutes les divisions
produit des manifestations
produits des divisions
sur fil fragile des existences
racine carrée des contre-danses
nous sommes la somme
des divisions produits
soustractions d’estime
notre impatience détonne
notre désir d’autre chose
en temps de pénuries
en temps de peines
et tant de germes pourris
tant de vues meurtries
peuple endormi
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4. |
la nuit
01:13
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tourne bredouille
entre les visages
se nourrit de la nuit
l’œil vacille
mi-fougue mi-raison
œil miracle
scrute l’horizon
regard ailleurs
se fait mirage
pour la leçon
l’œil vacille
parmi le vague
se ferme peu
mais ferme bien
dans le sillage
d’un regard trouble
se nomme vestige
sillage perfide
l’œil vacille
et puis s’éteint
la nuit
|
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5. |
bribes d'horoscope
03:22
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|||
au cœur du ciel lumière diffuse
observe du bout de ta langue-vue
les dérives célestes
ruée intempestive
vers le centre de toi-même
le tout est de savoir comment
glisser entre les lignes comment
se faufiler discrètement
vers la coulisse
disparaître
sans que personne
ne s’en aperçoive
et prendre le large
enfin
tourmente
embrase le corps cambré
ne pas se souvenir
sur quel pied danser
sur quel pied penser
se perdre embarrassé
dans les sables mouvants
de la psyché
sans trop savoir
comment se débattre
ou comment avancer
plutôt lâcher prise
et souffler
embrasser la pulse
déhancher librement
le corps sur rythme cassé
braver la tempête
valser nu sous pluie battante
se purifier pour mieux
panser
enfin
tant de questions
persistent et alors
ne pas chercher réponse
qu’elles se retrouvent toutes
seules partout ailleurs
d’autres points
qui s’interrogent
la vie est courte
la terre est vaste
soyons légères
et perspicaces
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6. |
des yeux
03:32
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il y a des yeux
qui ne savent s’ouvrir
restent clos
observent le monde dans le noir
observent le monde sans le voir
devinent les ombres
il y a des yeux
qui ne savent souffrir
ouverts béants partout
des plaies indifférentes
ne sachant pas où regarder
espaces de nerfs sans trajectoires
où passe ailleurs le flux
vers l’extérieur des corps
il y a des yeux
qui ne savent sourire
leurs bouches statiques
vers le dehors vers l’extérieur
de leur propre corps
il y a des yeux dans les soupirs
dans les trous de tous les souffles
péniblement refoulés
écrasés contre le poids
des années floues
au plus profond de soi-même
las d’être figurine
ni gant de velours
ni case postale
gravée sur le dedans des yeux
mais des soupirs
plus larges que des montagnes
où l’on coule
comme dans les mares
juste un peu mais déjà trop
des soupirs lourds
noyés dans les yeux
comme des trous de mémoire
juste un peu mais déjà trop
des yeux qui veulent d’autres yeux
ne savent pas trop pourquoi
pour regarder ailleurs
sans être vus
par ceux qui ne voient plus
des yeux derrière les têtes
des yeux devant les autres yeux
ceux qui ne voient plus
juste un peu mais déjà trop
il y a des yeux partout
qui dévisagent le temps
le déshabillent pour le sentir
des yeux sur tout le corps
un souffle de vie au fond de l’iris
pour voir venir la mort
des yeux sur tout le corps
un souffle de vie au fond de l’iris
pour voir venir la mort
pour voir venir la mort
des yeux sur tout le corps
un souffle de vie
au fond de l’iris
pour voir venir la mort
pour voir venir la mort
|
||||
7. |
le temps
02:08
|
|||
prendre le temps comme il vient
avec toutes ses conséquences
prendre le temps comme le vent
avec toutes ses composantes
prendre le temps pour mieux le rendre
prendre le temps et faire selon
prendre le temps et les saisons
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8. |
||||
écho perdu dans la dérive
la surenchère du capital
rien de neuf somme toute
les propos dépitent déteignent
sur la décrépitude des choses
la dérive ne choque
plus personne
tout se dilue dans le blabla
des jours qui tournent
tout se dilate
mais rien n’explose
tout est contenu
rien ne bouge à force
les forces centrifuges décuplent
entraînent la masse dans la danse
au cours des jours
les nuits tranquilles
défilent et rien ne bouge
ni même n’implose
tout se dilate mais rien n’explose
tout est constance
en tirade des villes
où les murs lavés se taisent
à force de ne plus rien dire
les murs sottises
les murs s’étirent
les murs se tirent
vers d’autres murs
et un autre mur
qui les remplace
la masse fabule
elle s’extasie devant le progrès
même en temps de crise
progrès prospère
progresse toujours
partout progrès
se faufile entre
les viscères
la critique n’évince
que trop peu d’instincts vindicatifs
la critique se tait
derrière les murs
se terre dans la dérive
le grand silence des anathèmes
perdu sa langue et sa morale
pour qui l’éthique ne se conserve
perdu le temps dans les annales
et quelle histoire pour la suite
et quelle histoire ont-ils à dire
rien qu’elles nous rétorquent
l’écho perdu dans la dérive
|
||||
9. |
le tort tue
00:58
|
|||
suer
labeur suer
plisser le front
l’hiver scié
le corps plié
écorce peuplier
les corps trempés
l’écart trempé
en trompe-l’œil
l’écorce
la corvée
la corvée
à corps des
le corps des
encordés
encore des
encore du sang sur le mur
encore de la censure
les sangsues
l’ascenseur
les sans-terre
le corps et la mesure
le sort et la posture
à tortue
à vent terre
aventure
inventeur
à torture
à tard peur
à torpeur
au tord peur
entortille
le tort tue
la sœur tue
la torture
enterre fille
à corps des
encore de
encore de la censure
du sang sur le mur
|
||||
10. |
||||
courte échelle
vers l’abondance de la perte
mirage à mi-coupe
trompe-l’œil biaisé
par l’orage de traverse
perpendiculaire sphère
de l’administration
à perte des valeurs
nous sommes juste un peu trop cuits
la chair rougie par le soleil
vertèbre pluie vertèbre pluie
souci d’inconscience
en circonstance pour circonscrits
la marée monte allez donc
nous ne sommes pas
l’inconsistance des intérêts tronqués
par le pouls des cours boursiers
mare trouble marmite fourbe
foutue parole parlementaire
à ne pas y croire sans même les voir
les crépitements subaquatiques
flammes brasiers des mers
pirates des terres
filons les hautes sphères
à l’abordage mesdames messieurs
quand les nuits compteront les jours
vos demeures ne seront plus sûres
nous sommes la relève des croûtes
tel est le vent qui presse les côtes
nous sommes la signalétique
d’une mascarade futile
futon putride
le mascara coule aussi
quand la pluie sur le visage
dégouline gouttières percées
nous tenons les ficelles
de nos fissures nos semblants
foutaise des mascaras
mascarades
masque à rade
masque rime
masque ni sourdine
museau fébrile il est futile
le temps qui court
empoisonne le sang autour
discorde distorsion
écart-type et quart de tour
quand la forme se compte
soupape soupir des outres
ni se lamente ni seul
au monde la fin ne justifie
plus les moyens termescourser la lune pour l’illusoire
tous ensemble le ciel
pleure et nous aussi
le raisonnement se conditionne
tourner à l’inverse des cours boursiers
l’audition pour automates
pour faire tomber les taux bancaires
la valse des vols shhh par terre
les visions imparties
parties au détriment
fioritures pour faits divers
panoplie des divergences
sonnent les cloches de la discorde
discorde distorsion
palpiter des grandes surfaces
au rythme des nonchalances de masse
croisière urne sur le pont
une pioche touriste pied flétri
flirt flétri en poche
première classe
dernière trace avant
couper sur une terrasse
devant les choix des consommables
qu’on sonne les cloches
mille facettes perdues
l’horloge de son tic-tac
ne dit plus rien
juste mimene rime à rien
juste signe
contours des cils
constat dessine
consort pistil
le sort distille
nous sommes en marge à en tomber de la page
coulures au compte-gouttes
quelques nuages
leurs ombres portées
par le ressac des vagues futiles
à ne plus croire le ciel
qui file sa toile d’argent
|
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11. |
aaaaa
01:17
|
|||
alerte amibe
anneau anar alaire
alaire allure
aberration
amharique amer
aztèque astuce
astuce azalée
arrache arrache
achevé acier
acide acide
acétone amère
allure aberration
ajout agrafe
allié agoraphobe
agoraphobe à l’octave
agité aguichant
adverbe affaire
agile agile
agrégat aguets
agrume agrume
à terre à tort
à tour à tour agui
akène akène axiome
action actionaxiome accent
actine actine
atone actif
aphone aphonéthique
affaire à fond
à fond d’alizée
apocryphe
à griffes d’albite
albumen amibe
abrite alcali
alcade alim
anémie
anime anale
anis anion
anus annélide
anneau annexe
anagramme
année anar
allure à l’heure
à lire alors
à lourd à l’air
allo à l’eau
à la alu
allez à l’eau
année à nous
à nid à nœud
apnée à pneu
allez allah allohappy happening
applause à pli
à pelouse à pluie
amibe à mer
amibe anneau
à nœud
année
à nid
à nous
à nez
à nœud
à nues
à nous
à nus
à nous
à nues
à nous
à nus
à nous
à nues
à nos
à nous
amibe
à nus
alerte
amibe
à mer
aaaaa
|
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12. |
combien
02:31
|
|||
combien de pommes dans un pain
combien de pives dans un pin
combien de pommes dans pin
combien de pignes dans pive
combien de pignons
combien de pignons
combien d’écailles sur pives
combien se privent
combien se privent d’écailles
combien se privent de pain
combien de pain dans une pinède
combien pinent
combien aident
combien de pinèdes pour un pin
combien de pain dans une pinède
combien de pommes pour
combien de pain
combien de vin
combien de pives
combien s’aiment
combien suivent
combien de pain pour ce pèze
combien se plaignent
combien aident
combien tiennent
combien cèdent
combien se lassent
combien se taisent
combien de mouches pour une beuse
combien d’or
combien meurent
combien pleurent
combien d’or
combien meurent
combien pleurent
combien dort
combien d’art pour de l’or
combien d’art pour ce corps
combien d’ordres
combien d’art pour de l’or
combien de cœurs
combien de cœurs sur un pin
combien d’ailes sur une pive
combien d’îles sur la rive
combien vivent
combien d’or
combien d’air
combien de morts dans ces mers
combien d’art
combien d’îles pour une rive
combien d’ailes pour une pive
combien d’ailes pour une écaille
combien d’ail
combien se taillent
combien tombent en un hiver
combien restent
combien se leurrent
combien de larmes pour un pleur
combien de cils pour un œil
combien de styles
combien de seuils
combien de pives pour un pain
combien de pain
combien vivent
combien de pignons sur pive
combien de pignes sur pin
combien de pignons sur roue
combien tournent
combien tombent
combien se relèvent
combien chutent
combien suivent
combien luttent
combien de mal sous la voûte
combien de gens bien
combien de gens bien
combien de gens bien dans une hutte
combien de gencives dans bouche
combien de gens
combien de gens biencombien de jambon dans la brousse
combien de pain
combien de pain dans une pinède
combien aident
combien cèdent
combien de gens bien
combien de mal
combien de sang bien
combien de jambes
combien de gens bien
combien de jambes
combien de jambes pour une course
combien de bras
combien de doigts
combien de manches qui se retroussent
combien de pain
combien de liasses
combien de pain pour une vinasse
combien de pots
combien de vin
combien de vide pour
combien de plein
combien de plaintes
combien de craintes
combien de sève
combien de pain
combien de doutes
combien de croûte sur un paincombien de morts
combien de morts pour ces mers
combien d’or
combien de pain pour ce corps
combien de pi
combien de pives
combien de pommes dans un pain
combien de pives tombent du pin
combien crèvent en un hiver
combien
combien d’or
combien de morts
pour ces mers combien
combien de pain
pour un corps combien
crèvent en un hiver
combien
|
||||
13. |
hélioscope
03:38
|
|||
je t’attendrai au prochain carrefour
nous formerons une plume indigo
après l’orage
rien à voir avec les autres
ni coquelicot juste anecdote
verre vide et veine ouverte
au carrefour prochain des formes
tu m’attendras après l’orage
une autre chute
comme les autres ciels
des autres souvenirs
je porterai un habit noir
un gyrophare sur le sein gauche
une mallette mandarine langouste mauve
je n’ai pas peur
je t’attendrai
aux formes prochaines des autres carrefours
après l’orage
dans les chutes molles des anecdotes
le gyrophare en bandoulière
nous irons manger la lune
les autres lunes
pareil comme en hiver
étoile égarée d’un soir
retrouvé le regard vers nulle part
en forme carrefour tu m’attendras
je n’ai pas peur je prendrai le nord
un regard vers l’heure du gyrophare
la poussière au fond des poches
en guise d’espoir je t’achèterai le ciel
les autres ciels
fioles d’huile couleur de l’aube
sur le centre de ton sein gauche
je n’ai pas peur je sais le ciel
je sais le temps des chutes et les ébauches du vertige
les temps morts des fontaines
où les fantômes deviennent fantasmes
sur les mesures indivisibles des pourtours
je sais l’oubli du temps qui court
neige semence d’étoile
poitrine ferme de l’inconnu
la langue pendue vers nulle part
je suis bientôt une autre personne
|
||||
14. |
prose des simples choses
02:18
|
|||
les feuilles tombées au vent
recouvrent le sol de leur duvet
chaudes couleurs d’automne
annoncent le froid des jours d’après
tel un ver nu
l’hêtre grelotte devant l’hiver
ses branches raides et dépourvues
se morfondent d’être des feuillus
mandibule fragile
croque la vie à pleines dents
parfois se brise dans son élan
mais toujours retrouve appétit
|
||||
15. |
soleil puissant soleil
01:48
|
|||
le sang
de tous les arbres se cramponne
le vent léger n’est plus
il vole et valse
dans les cadences des flammes
dérive se déhanche
se délivre des pastilles blanches
où vestibule mur faible
accroche son manteau de crânes
de peur d’être brûlé par l’aube
ou croqué vif dans l’âme
soleil puissant soleil
aveugle la nuit d’étranges visions
le corps soif d’autres corps
la soif corps d’autres soifs
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